
J’ai repéré des angles où les quais se laissent apercevoir par l’entrebâillement d’une porte et la possibilité d’une vue depuis le premier étage, auquel conduit l’étroit escalier en colimaçon, donnant sur la terrasse, avec les quais comprenant le fameux pont Louis Philippe.
Quand je découvre les abords de ce restaurant, les feuillages, la pelouse, les quais, les immeubles, les bouquinistes, le charme de la lumière de Paris est à son comble. On ne peut pas résister. On est obligé d’y succomber.
Acrylique sur papier