Café La Vielleuse

Un jour de marché.
J’ai eu du mal.
J’étais trop lent. La lumière a changé. Inutile de le dire : elle change tout le temps. Le vent pousse les nuages qui masquent les rayons du soleil. Inutile de faire mine de s’en étonner. J’étais attiré par la zone dans la pénombre. Une scène théâtrale scénographiée par la lumière.

Du coup on fait un zoom  visuel. On écarquille les yeux pour déceler ce qui se passe que la pénombre veut nous cacher. On entre dans le marché par un goulet, un resserrement entre les tréteaux des vendeurs et la pagode actuellement désaffectée, en réparation ?

Ce qui m’enchante aussi c’est qu’on peut échapper à tout ça ou bien au contraire surgir, par les marches de l’escalier du métro.