
Tout le long en contrebas un plan incliné pourvu d’orifices par lesquels jaillissent à intervalles mesurés des jets d’eau.
L’ensemble constitue une attraction pour les visiteurs en ce mois d’août caniculaire qui les fait bondir en maillots de bain comme les jets d’eau.
C’est dans ce Parc André Citroën que nous nous sommes retrouvés à l’invitation des sketcheurs parisiens.
Les jets d’eau jaillissaient par intermittence et par conséquent il m’a été possible de mesurer leur amplitude et de les figurer.
Mais je n’ai pas pas suffisamment pu définir la teinte des corps et surtout leur éclat parce que l’eau qui ruisselait les rendait éclatants.
Acrylique sur papier