
Les jardiniers n’ont pas lésiné sur les nouvelles plantations : Orangers du Mexique, oliviers de Bohême, lilas de Californie, lilas des Indes, ou encore saules du Japon.
Suite à la transformation du jardin les exilés de toutes origines qui fréquentaient auparavant le lieu côtoient maintenant d’autres visiteurs attirés par l’exubérance des couleurs, la grâce de la lumière : les parents du quartiers et leurs enfants, les retraités.
Acrylique sur papier.